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Pourquoi les ultrariches ne ressentent nullement d’empathie pour nos plus demunis

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Pourquoi les ultrariches ne ressentent nullement d’empathie pour nos plus demunis

Fermer le regard.

Faire la sourde oreille a quelqu’un. Regarder les gens de haut. Voir a travers eux.

Source : The New York Times, Daniel Goleman Traduit via les lecteurs du website Les-Crises

Ces metaphores Afin de designer un comportement condescendant ou dedaigneux seront plus que descriptives. Elles suggerent, dans une mesure etonnamment precise, la distance sociale entre ceux ayant le environ pouvoir et ceux qui en ont moins – une distance qui va au-dela du domaine des interactions interpersonnelles et qui pourrait exacerber la montee en fleche des inegalites aux Etats-Unis.

Encore en plus de investigations recentes revelent que des personnes ayant le plus de pouvoir social ne pretent guere attention a celles qui en ont moins. Cette distanciation fut observee, comme, avec des etrangers au cours d’une simple seance de prise de contact de cinq minutes, ou le webmaster J’ai plus puissante montre moins de signes d’attention zoosk, tel le fait de hocher la tete ou de rire. Les individus de statut superieur sont egalement plus susceptibles d’exprimer un mepris, par le biais d’expressions faciales, et seront plus susceptibles de prendre le controle la conversation et d’interrompre ou de detourner le regard de un interlocuteur.

Selon les chercheurs, claque d’integrer la micropolitique de l’attention interpersonnelle a J’ai comprehension du pouvoir social a des repercussions sur les politiques publiques.

Bien sur, dans toute societe, le i?tre capable de social reste relatif ; tous d’entre nous peut se situer plus ou moins haut dans une interaction donnee, ainsi, les recherches montrent que cet effet prevaut forcement.

Correctement que nos plus puissants nous accordent moins d’attention que nous ne un en accordons, dans d’autres situations, nous sommes Pluti?t plus haut dans le totem du statut – et nous avons aussi mode a accorder moins d’attention a ceux qui se trouvent 1 ou deux echelons plus bas.

Une condition en amont a l’empathie est juste de preter attention a la personne qui souffre. En 2008, des psychologues sociaux de l’universite d’Amsterdam et de l’universite de Californie a Berkeley ont etudie des paires d’inconnus qui se racontaient les difficultes qu’ils avaient traversees, tel votre divorce ou le deces d’un etre cher. Mes chercheurs ont constate que le differentiel s’exprimait via la minimisation d’une souffrance. Mes gens les plus puissantes etaient moins compatissantes a l’egard des epreuves decrites par les moins puissantes.

Dacher Keltner, professeur de psychologie a Berkeley, ainsi, Michael W. Kraus, professeur adjoint de psychologie a l’universite de l’Illinois, Urbana-Champaign, ont effectue une grande partie des recherches sur le i?tre capable de social et le deficit d’attention.

Keltner suggere qu’en general, nous nous concentrons le plus i  propos des individus que nous apprecions le plus. Alors que les riches peuvent engager de l’aide, ceux qui ont peu de biens materiels sont plus susceptibles d’accorder de l’importance a leurs biens sociaux : comme le voisin qui gardera un ?il sur votre enfant entre le moment ou il rentre de l’ecole et celui ou vous rentrez du projet. La difference financiere finit avec creer une difference comportementale. Mes pauvres seront plus a l’aise en relations interpersonnelles – au milieu des personnes d’la meme couche sociale et les plus puissants – que nos riches, parce qu’ils doivent l’etre.

Si les recherches de Keltner revelent que nos pauvres, compares aux riches, ont une attention interpersonnelle aiguisee dans l’ensemble des directions, en general, ceux qui ont le plus de pouvoir dans la societe semblent accorder particulierement peu d’attention a ceux qui en ont le moins. Habituellement, les personnes nos plus puissantes dans la societe semblent accorder particulierement peu d’attention aux personnes des moins puissantes.

Ca a de profondes repercussions sur le comportement une societe et J’ai politique gouvernementale. Etre a l’ecoute des besoins et des sentiments d’une autre personne est une condition prealable a l’empathie, qui peut a le tour conduire a la comprehension, a la preoccupation et, si les circonstances s’y pretent, a l’action compatissante.

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